Édicules, maisons individuelles, cabanon agricole ou de jardin, chalets de montagne, beaucoup de constructions anciennes ou récentes répondent à la forme logotypique de la toiture à deux pentes. Leur inventaire même partiel permet de mesurer l’immuabilité de la problématique à résoudre lorsqu’il s’agit d’avoir un toit qui protège de l’eau. Il apparait également dans le panel des propositions, des micro-variations, le caractère attachant de ces bâtisses. Cette forme que l’on retrouve aussi bien dans des pions de monopoly que dans la calligraphie chinoise, semble traverser les âges et les cultures au point qu’il suffit de la mimer avec les mains pour que l’on comprenne partout dans le monde que l’on parle d’un toit.